Elle a complètement dégonflé et a perdu sa carrure d’homme. Une toute nouvelle et toute belle Venus Williams vient d’arriver à la Barbade pour un petit tournoi, arborant des cuisses plus fines et des bras tout fins. Celle qui fut la numéro 1 du tennis féminin est apparue plus jolie et en meilleur santé que jamais !
Son secret ? C’est son alimentation. “J’étais la première à me jeter sur un steack et à laisser la salade en décoration, explique-t-elle. Donc aujourd’hui c’est des légumes en grandes quantités, et je me sens mieux” raconte Venus Williams.
En fait, c’est une maladie auto-immune qui l’a forcée à modifier son alimentation. L’année dernière elle a été diagnostiquée du syndrome de Sjogren, une maladie chronique qui attaque les glandes de l’hydratation – altérant ainsi le fonctionnement de certains organes et du métabolisme de l’organisme. Et on lui a conseillé d’adopter une alimentation moins agressif pour son organisme.
Bon, les légumes d’accord, mais certainement que l’arrêt du sport n’y est pas pour rien dans sa métamorphose ! En un an, Venus Williams a dû perdre 5 kilos de muscles (facile), et elle a ainsi pu dégonfler de sa silhouette ultra athlétique.
D’ailleurs pour certaines femmes qui prennent du muscle, parfois c’est bon de s’arrêter un peu de faire de la musculation. C’est souvent le cas des filles sportives, qui n’ont pas vraiment de cellulite, mais l’avant des cuisses un peu trop bombé. Pour elle, il serait bon de diminuer l’effort sportif quelques temps. Juste pour retrouver une silhouette plus fine, moins massive. Pendant ce temps, on ne fait que du cardio, pas trop intense, deux fois par semaine pour s’entretenir.
Ensuite au bout de 4 ou 5 mois d’arrêt du renforcement musculaire, on regarde les zones qui ont besoin d’être plus entretenues que les autres : l’intérieur des cuisses, l’arrière des fessiers pour ne pas que ça tombe, les abdominaux. C’est alors le moment d’en parler à un coach sportif pour se faire guider dans les bons mouvements de muscu qui entretiendront la finesse des muscles, sans faire travailler les zones qui sont déjà bien développées.