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Journal sans alcool : mois 1 

    Je publie cet article alors que je fête mes 5 semaines sans alcool. Ça ne vous paraît peut être pas grand chose. Mais si vous avez l’habitude de boire de l’alcool régulièrement, demandez-vous : depuis combien de temps n’avez vous pas passé 30 jours à la suite sans boire d’alcool du tout ? 

    Pourquoi j’ai arrêté l’alcool ? 

    « Tu ne buvais pas tant que ça ! » me répond-on souvent. Bah, oui, c’est sûr, quand je vois des amis, je bois 5-6 verres un vendredi soir. Donc oui, quand un pote me voit « je ne bois pas tant que ça ». Mais sur la semaine, je suis à 10-15 verres ! Pas d’alcool du lundi au mercredi soir, dirons nous.

    • Et hop, 1 ou 2 verres de blanc le mercredi parce que c’est sympa ;
    •  2 ou 3 verres le jeudi soir après la natation parce que c’est presque le week-end ;
    • Le vendredi avec des amis ;
    • Le samedi soir rebelote, avec d’autres amis ;
    • Et parfois le dimanche midi : 2 autres verres avec mon conjoint… 

    Toutes les semaines. Depuis des années. Rarement moins. Souvent plus, lors de vacances avec des potes, ou en famille… Bref, je bois trop d’alcool. Depuis que j’ai 17-20 ans, je bois le week-end et les vacances en grande quantité. J’ai donc de l’entraînement. 

    Et j’ai beau essayer de diminuer : je n’y arrive pas.

    Boire juste 1 verre ou 2 à un dîner avec des potes, je n’y arrive pas. À l’apéro : 2 verres de rosés et sur le dîner, 3 verres de vin facile. Puis plus si la soirée rallonge. 

    dry january experience

    Avec mon mari on aime le vin. On en boit beaucoup. On est généreux, on ouvre toujours plusieurs bouteilles pour le dîner quand on reçoit chez nous. Ça fait partie de nous, c’est notre plaisir. On n’aime pas quand dans les mariages les serveurs rationnent le vin aux tables en mettant 3 plombes pour servir les invités. Il faut qu’il y ait toujours du vin à table ! À volonté !

    Alors non je ne suis pas l’alcoolo de service qui finit ivre morte tous les soirs. Je tiens l’alcool. Je n’ai pas l’air défaite au 6è – 7è verre. Je rentre, je me démaquille, je couche les enfants, je me couche. Et le lendemain : oui j’ai un peu mal à la tête, un peu cette sensation d’être vaseuse. Mais ça va. Sauf que depuis 2 – 3 ans, et notamment suite au confinement du Covid où l’on avait encore plus bu tous les soirs, je commence à me rendre compte que je bois systématiquement beaucoup.

    • J’ai de moins en moins de mémoire ;
    • Je zappe souvent un entraînement le dimanche parce que j’ai trop fait la fête la veille.

    Bref, j’en ai eu marre de l’alcool. 

    La prise de décision

    Alors fin décembre 2022 je me suis dit que je tenterai bien le Dry January 2023, mais sans trop y croire. Parce que je n’ai jamais réussi à faire un Dry January en entier. À chaque fois c’est 7-10 jours max ! Et encore… Et cette année, ça n’a pas loupé.

    J’ai pratiquement bu tous les soirs de décembre après mon épreuve de natation au Maroc. Parce que plein de fêtes, d’occasions, de soirées aussi où j’avais envie de me prendre un petit verre pendant le dîner ou en préparant le repas avec les enfants à côté… 

    Janvier 2023

    1er Janvier : on ne boit pas. 2 janvier non plus. Le 3 Janvier, pour se féliciter du jour de rentrée : avec mon mari on a fini la 3e bouteille de Marche -vin italien sublime- qu’on n’avait pas fini au 1er de l’an avec nos potes. Et c’est moi qui ai proposé ces verres… Et le week-end qui a suivi on a reçu des potes à dîner et on a beaucoup bu pour célébrer notre amitié !! 

    Et donc feu le dry January, clairement. Le dimanche 8, alors que j’avais zappé mon entraînement de course à pied parce que « trop fatiguée » : j’ai décidé d’arrêter de boire. Vraiment. J’ai téléchargé l’application I am Sober. J’ai enregistré des vidéos facecam que j’ai vite publié sur Instagram pour direct me mettre une obligation de résultat.

    En parler, ça fait avancer.

    J’ai ressenti le besoin du soutien de ma communauté. Parce que ma communauté des réseaux sociaux, ce n’est pas une bande de followers / haters qui m’admire en permanence. C’est un monde soudé de femmes (et d’hommes) qui ont la même vie que moi. Des femmes qui bossent, qui ont des enfants ou veulent en avoir, des femmes qui veulent tout réussir dans la vie. Le boulot, le conjoint, les enfants, le corps, la maison, les passions. Bref. On se comprend, on sait ce qu’on vit. Et ce qu’on vit : c’est dur. C’est bien et c’est dur. Les deux en même temps. 

    soutient de la communaute

    Donc j’ai eu envie de leur dire. Parce qu’elles m’ont vu progresser aussi. Dans mon travail, dans ma vie de maman, dans mon alimentation végétarienne, dans l’arrêt de la cigarette… Il me restait cette dernière échelle de santé que je n’arrivais pas à débloquer. Un maillon indéboulonnable pour moi. Un aspect sympathique, festif, qui – comme elles le disent – « me rend humaine et les fait déculpabiliser » .

    Sauf que l’alcool c’est insidieux. On ne s’en rend pas compte. Mais beaucoup, beaucoup de femmes boivent plus qu’elles ne devraient.

    10 doses d’alcool par semaine : ça commence à être une consommation à risque.

    10 verres. Ça va vite. Et c’est vrai que le fait de boire pour une femme c’est vu comme une force.

    • Elle boit = elle est fun.
    • Elle boit = elle est cool.
    • Elle est sportive et elle boit = whaou quelle femme !! 

    En tout cas c’est comme ça que j’avais l’impression de comprendre le monde. Ou c’est comme ça que j’avais l’impression que je faisais la différence.

    Attention, je ne veux pas forcément vous convaincre de faire comme moi, que tout le monde arrête l’alcool. Je parle de mon histoire, mon vécu. Et si personne ne comprend ce n’est pas grave, ça me fait du bien de raconter tout ça par écrit.

    Les bienfaits liés à l’arrêt de l’alcool

    Voilà donc ça fait un mois. Et les effets sont incroyables. Je ne m’attendais d’ailleurs pas à ressentir autant de bienfaits. 

    Une plus grande clairvoyance

    La 1er chose qui m’a sauté aux yeux, c’est cette sensation de clarté d’esprit, de lucidité pendant les soirées et surtout à la fin. C’est-à-dire que les conversations étaient claires pour moi, j’étais plus connectée avec les gens, moins dans une sensation d’effondrement et de fatigue au fil de la soirée. J’étais la même personne au début et à la fin de la soirée. Ça ne m’était jamais arrivée je crois. Sauf enceinte !

    Une patience plus importante

    La 2e chose : c’est l’augmentation radicale de ma patience. Patience avec mes enfants surtout. Vraiment. Le soir, je suis beaucoup plus avec eux, moins dans l’évitement, moins dans l’agacement permanent de leurs cris, demandes, sollicitations, petites désobéissances…

    Je ressens totalement cela. Et ce dès les 3 premiers jours. Et c’est vrai que finalement quand on boit 1 ou 2 verres alors que les enfants sont à côté : on est moins avec eux. On a notre boisson, eux non. On a ce besoin de changer nos émotions, eux non. On entre vite dans un décalage en fait. Qui n’améliore pas du tout la situation, au contraire.

    En faisant semblant de nous détendre, ces 2 verres du soir nous coupent de l’essentiel et de la simplicité de la relation. 

    Moins de courbatures

    La 3e chose : c’est que j’ai beaucoup beaucoup beaucoup moins de courbatures. Mais c’est dingue. Je ne m’attendais pas du tout à cet effet. Avant, ma vie était une courbature permanente. Tout le temps plein de courbatures. Du lundi au dimanche et rebelote.

    En 1 mois, j’ai dû avoir 2 fois des courbatures, assez modérées.

    Alors que je m’entraîne à fond notamment en natation et en renforcement musculaire. C’est l’immense surprise pour le coup. Et ça me donne encore plus envie d’explorer ce sujet. 

    Voilà désolée pour cet article de blog ultra long. D’ailleurs, ça fait longtemps que je n’avais rien écrit de perso sur ce blog. Vous aimez ? Vous lisez ? Est-ce trop long ? Dites moi, car mon objectif c’est d’être lue et de vous emmener vous aussi sur ce chemin.

    Et après ?

    dry january la suite

    La suite ? Je ne sais pas. J’aimerai vraiment arriver aux 50 jours sans alcool. Et après, on verra. Boire 1 ou 2 verres quand vraiment ça vaut le coup, quand vraiment le vin est bon, quand vraiment je vais l’apprécier pour ce qu’il est. Pourquoi pas. 

    Un peu comme la relation que j’ai avec les pâtisseries par exemple. J’adore les bons gâteaux. Mais je n’en mange que très rarement, quand vraiment je sais que ça va être très bon et que ça vaut le coup, que c’est vraiment fait maison. Sinon un « fondant au chocolat » décongelé au micro-onde vite fait dans la brasserie du coin : je passe mon tour, aucun intérêt. 

    J’aimerais avoir cette relation là avec l’alcool, finalement. 1 ou 2 verres quand vraiment ça vaut le coup.

    Pour le goût. Pour le vrai plaisir. Et pas pour changer ses émotions, pas pour changer mon état, pas pour montrer aux autres que je tiens mieux que tout le monde, pas pour la compétition de qui est le moins déchiré le lendemain.

    Un dernier mot, à toutes les jeunes mamans qui boivent de l’alcool parce que c’est un peu dur le soir quand on rentre. À tous les mecs qui n’ont qu’une hâte : boire 1 ou 2 bières en rentrant du boulot. À toutes les femmes qui pensent que boire pas mal c’est cool et à la mode. À ceux qui pensent que leur entourage attend d’eux qu’ils boivent pour être appréciés. À tous ceux qui boivent plus que 10-15 verres d’alcool par semaine. Vous pouvez décider d’arrêter.

    • Vous ne perdrez pas vos amis et votre famille.
    • Vous ne serez pas jugés.
    • Et vous découvrirez d’autres facettes de votre vie que vous ne remarquiez pas au quotidien. 

    Bon courage, je pense à vous. 

    56 commentaires sur “Journal sans alcool : mois 1 ”

    1. Waouh.
      Mes rapports à l’alcool et aux gâteaux, sont complètement inversés aux tiens. J’ai exactement le même rapport à l’alcool que ce que tu décris pour les gâteaux, et je souhaiterais tellement qu’il en soit de même pour mon rapport avec la nourriture (le gras/sucré, évidemment).
      Flash de compréhension profonde.
      Merci pour ton courage, ton honnêteté. Ça faisait longtemps que je n’étais pas venue sur le site, ça m’a fait du bien. Merci.

    2. Alors c’est fou car j’ai acheté plusieurs programmes et je découvre que maintenant le blog en voyant ton post insta disant que tu allais poster un article un peu plus perso et je me suis dis comment ça j’ai pas vu le blog ?
      Il est pas trop long à mon goût (mais j’aime les posts longs les courts me frustrent) et puis vu le sujet il fallait au moins ça. Effectivement c’est plus perso mais c’est bien aussi parce que effectivement non tu n’es pas une machine et comme tout le monde tu as tes forces et tes faiblesses tes qualités et tes défauts.
      Moi je ne bois pas, je tiens pas l’alcool 1 verre et ça tourne 2 verres je suis pompette du coup j’arrête…. Pourtant j’adore le bon vin. Mais je n’y arrive pas et puis y’a toujours la question de qui conduit et du coup bah je me dévoue à chaque fois. Mais ça ne me frustre ps non plus.
      Du coup ton expérience je la transpose hyper facilement avec mon « problème » alimentaire. Moi je grignote quand je rentre du boulot et quand je prépare à manger voir même avant de manger certains soirs quand j’ai trop faim et tu te doutes bien que c’est pas des carottes hein lol.
      Et ça fait du bien de te lire.
      Alors je ne suis pas sure d’arriver à transposer dans la vraie vie mais en tous cas ça fait sens pour moi et merci de partager ça avec nous.
      C’est effectivement très intime et ça pourrait être mal interprété et vu comment tu es exposée j’imagine que ça n’a pas dû être simple de le poster alors merci de te livrer à nous comme ça. Ça fait véritablement du bien.
      En tous cas maintenant je suis inscrite à la newsletter donc je ne raterai plus rien. Et moi je dis oui à plus de posts un peu perso a des posts plus longs quand c’est nécessaire.
      Merci pour ton partage !

    3. Super article, on a presque envie d’en savoir plus! De mon côté j’en ai largement réduit la consommation d’alcool aussi, pour différentes raisons: économiques (l’alcool ça coûte cher quand on est en sortie d’études et qu’on s’expatrie, alors qu’un soft c’est peanuts), qualité de vie (je dors bcp mieux les lendemains de soirée et ai un sommeil de meilleure qualité). Et puis c’est vrai que ça ne me donne plus envie d’être trop alcoolisée, je préfère un ou deux verres max lors de soirée entre amis plutôt que 5-6 + les shots pour tenir jusqu’à la fin! Plus d’équilibre au final!

    4. Article très intéressant même si je ne suis pas personnellement concernée. Comme j’aimerais avoir cette relation avec le sucre ! J’en suis à mon 3eme jour sans sucre – je m’autorise juste 1 ou 2 carrés de chocolat noir à 80% minimum – mais je me sens comme un équilibriste sur un fil…

    5. Bonjour Lucile,

      Ton article est super intéressant, et tellement vrai! Nous en parlons souvent avec des amis et on se dit tous que l’on boit bien trop mais personne n’arrive à prendre le pas d’arrêter. En janvier 2020 j’avais fait le DRY JANUARY et comme ça fonctionnait bien j’ai continué jusqu’en mars j’avais perdu 10 kg sans me priver à côté, puis le confinement est arrivé , oups! Je viens de reprendre le sans alcool mais j’avoue que j’ai quand même du mal a trouver du plaisir niveau boisson, je n’aime pas les boissons sucrées et un peu marre du pierrier rondelle ou de la bière sans alcool… As tu trouvé d’autres alternatives?
      Merci pour ton témoignage.
      Bonne journée à toi et à toute ton équipe

    6. L’article n’est pas trop long et c’est super interessant de partager cette experience. Debut Decembre, j’ai bu tous les jours ou presque, et j’en pouvais plus. J’ai decide d’arreter pendant un mois malgre tout les evenements prevus pour les prochains mois (anniversaires, happy hour, weekend entre copains). Mon mari travaille dans le vin et organise des degustations. Mon bilan apres deux semaines: je dors beaucoup mieux, et surtout c’est beaucoup plus facile que c’est que je pensais! Apero, diners, degusatations de vin entre amis (eh oui!), je suis allee a tout ces rendez-vous avec une petite apprenhension et en fait j’oublie quand j’y suis meme si la tablee commente les vins apportes!

    7. Merci Lucile pour cet article ! Moi aussi je me reconnais trop dans ce que tu écris !
      Ca fait du bien de le lire et çà fait réflechir également !
      Non l’article n’est pas trop long , continue d’écrire , tu es une source d’inspiration et de motivation !
      Et félicitations pour ton challenge !

    8. Merci pour ce partage
      Pour moi 3 ans sans alcool et que du bénéfice
      En plus je suis devenues une championne des boissons sans alcool et sans sucre ajouté
      Merci pour le partage, les vidéos, les programmes, les articles
      Oui Merci
      Plein de bonnes choses à toi et toute ton équipe
      Madeleine

      1. Cela m’arrangerait que tu nous partages tes découverte!!! car à par l’eau, le vin et l’alcool, rien ne me plait. J’aimerais un jour tenter d’arreter l’alcool, mais que boire?. car à la fin de la journée après 3 l d’eau, il y a le thé …. mais ca manque de fun ! Je n’aime plus aucun soda depuis ma chimio…. que faire ?!?

    9. Merci pour cet article qui résonne vraiment en moi et en ce que j’ai vécu : avec mon mari nous étions en préparation pour notre deuxième marathon et on s’est dit : allez pour cette prépa on arrête l’alcool à 100%. C’était une vraie révélation : baptêmes, mariage, soirées sans alcool en pleine conscience, esprit et corps connectés et présents. On s’est dit qu’on allait continuer comme ça après et boire avec modération un verre ou deux à une occasion particulière ou comme tu dis quand le vin est vraiment bon etc… malheureusement les fêtes de fin d’années nous ont relancé dans un rythme apéro-bin-fête qui a continué sur janvier à 10-15 verres semaine. Aujourd’hui re-prise de conscience, je compte sur les différents objectifs sportifs étalés sur l’année pour garder le cap et une consommation raisonnée et raisonnable !
      Bref désolée pour ce roman mais article très juste et sincère, merci !!

    10. Cet article me parle trop. Je suis un peu comme toi Lucile, je suis la trop bonne vivante, celle qu’on ne voit pas quand elle a bu trop de verres, celle qui supporte bien l’alcool au niveau attitude( attention je ne dis pas que je ne serai pas positive si contrôle de police) mais je remarque qu’à 46 ans ça me fatigue au plus haut point et mon corps me le dit! Je suis certaine que mon foie souffre en silence aussi! Je vais tenter l’expérience car ça va être génial j’en suis certaine! Mon corps va me remercier et je veux pas vieillir plus vite ! Vanessa

    11. Merci beaucoup pour cet article très intéressant et qui est « vrai » !

      Il y a quelques années, lors d’une visite médicale, le médecin me demande si je bois de l’alcool et je réponds ‘non pas beaucoup’. Elle me demande de préciser sur une semaine et là en comptant honnêtement le choc : je suis à 10 verres ! Elle me dit sans jugement que ça commence à être une quantité non négligeable et d’y réfléchir.

      Alors depuis, je n’ai pas arrêté mais je bois « en conscience » au lieu de boire sans compter. Je sens quand ça fait trop sur la semaine et je me limite pour boire quand ça vaut vraiment le coup, à un dîner avec des amis et plus le soir juste pour se détendre car la journée était dure. Bon, ce n’est pas encore parfait mais je continue mon chemin 🙂

      Merci encore pour ton partage !

    12. Bonjour la communauté.

      Je m estime chanceuse : le hasard a fait qu en mars 2020, nous avions décidé de « faire le carême » (sans raison religieuse mais pour principe) et nous avions, avec mon mari, eu l experience finalement de 50 jours sans alcool ni viande. Sans ça, j aurais vécu l alcool comme tous, les soirs de covid. Ici, nous avons terminé notre mois sans alcool (ni viande). Mon mari reprend, fier d avoir tenu. Moi… j attends que l envie revienne parce que je suis comme toi : si je bois un verre, je finis pompette (à minima hehe).

      Le plaisir pour moi c est que si je raconte des conneries en soirée ou que je parle trop fort, je me rassures « ouf, c est pas parce que je suis saoule, juste que je m’amuse de plein gré « . Aussi, une chose dont tu ne parles pas, c est l économie d argent !

      Bonne continuation.

    13. J’ai arrêté aussi car je ne savais pas boire modérément c’est à dire deux verres et pas tous les jours selon les recommandations.
      Et bien ce n’est que du positif.
      J’ajouterai à cet article que l’alcool est la 1ere cause de cancer du sein chez la femme. Dans les services d’Addictologie, c’est la première chose qu’ils font une mammo.
      J’ajouterais aussi que même si c’est difficile à imaginer, parfois il faut se dire plus jamais quand on ne sait pas se modérer. Il est bizarrement plus facile de dire non au premier verre Qu’au 3e.
      Et enfin que la sobriété est une liberté, un voyage vers soi !

    14. Bonjour Lucille, beau témoignage et Je suis sure que vous allez tenir 50 jours voire plus. Quand j’étais jeune, je sortais beaucoup (tous les week end) et notamment lorsque j’habitais la région parisienne. J’étais la seule qui tenais « bien » l’alcool, alors j’accompagnais toutes mes copines en boite, je les ramenais, je buvais peut être un peu moins qu’elles.. mais bon, pas de quoi s’en vanter ! Et le soir, je rentrais chez moi et le lendemain, j’étais naze…Au tilleul, en pyjama et aux dolipranes toute le dimanche. Puis un jour j’en ai eu marre d’être au comme ça tous les dimanches et ne pas profiter de mes dimanches. J’ai quitté la région parisienne, mes copines aussi et j’ai changé de vie. Maintenant, presque 30 ans après, je peux boire un verre à des occasions mais un verre, c’est tout. Je n’apprécie plus du tout de boire plusieurs verres dans une soirée et pourtant je m’amuse comme avant. Et les « vrais amis », on ne les perd jamais ! Bon courage Lucile.

    15. Bonjour Lucile,
      Ton témoignage est très juste et je me retrouve complètement dans ton expérience !
      Après 3 dry january, nous avons à chaque fois repris nos habitudes de consommation comme si de rien n’était… Mais ce dry january 2023 a été différent. Nous avons tellement ressenti les effets positifs de ne pas boire d’alcool (meilleure concentration, de vraies nuits de sommeil réparatrices…) que nous avons décidé de prolonger l’expérience et d’avoir également cet objectif de boire moins mais mieux ! Du bon vin pour se faire plaisir et non par habitude ou comme tu le dis si bien pour changer nos émotions ! Parce qu’il y a toujours une bonne raison pour « le » petit verre de blanc du soir : l’agacement, la tristesse, le ras le bol, la joie… Alors que ce petit verre de blanc ne changera rien au fait qu’il y ait encore un incident sur la ligne 9 et qu’on a galéré pour rentrer du bureau ?
      J’espère sincèrement que ça durera !
      En tous cas, ça renforce la motivation quand on sait que d’autres partagent la même expérience ! Merci !

    16. Merci pour ce partage, de la part d’un grande sportive en plus, en parler brise vraiment les tabous. Et ça donne envie de compter ses verres.
      Mon astuce depuis quelques temps c’est de conduire donc je prend juste 1 verre de vin rouge. J’adore le bon vin rouge et le champagne, c’est tout mais c’est assez pour souvent ne plus savoir à combien de verres j’en suis.
      Moi aussi je me suis dit stop depuis janvier.

      Mon déclic était aussi de me dire zut, tous ces dimanches matin où je ne peux pas aller courir à cause d’une soirée, ça devenait trop frustrant.

    17. Merci pour ce beau témoignage.
      Oui la consommation d’alcool est encore célébrée et c’est bien dommage.
      Et les séries Netflix (ou autre) ou les personnage ont toujours une bouteille de vin ouverte à côté d’eux, un verre de vin à la main on en parle ? Cela entretient tellement le fait que c’est « normal », « fun » ou autre, alors que non, cela a des effets sur nos comportements, notre santé.
      Ici je réduis aussi, mais dur dur.
      Mais ton retour sur expérience est précieux.

    18. Bonjour et merci pour le témoignage, je suis ds le même processus d arrêt de l alcool, consommation identique, fêtarde le week end (et plus …) avec les copains, soirée avec mon mari et alcool , et pourtant grande sportive qui aime les challenges. Depuis mon arrêt (1/01) j ai pris de temps de l introspection et je suis tjs ds l excès, au travail, dans le sport, dans la vie en générale. Je ne sais pas faire ds la modération et l alcool est un nouvel exemple.
      Je pensais devenir triste en arrêtant l alcool et non je suis tjs aussi fun et même finalement beaucoup plus drôle car je ne suis plus ds un état second dû à l alcool. Mon plus grand cadeau aujourd’hui avec cet arrêt c est mon moral, je n ai jamais été aussi bien ds ma tête, plus de phase dépressive, une pêche de folie! Et plus de déprime post soirée alcoolisée et la honte de moi.
      Mon désir au départ était la modération mais je doute aujourd’hui d en être capable.
      Prochaine étape ….

      Merci de ton témoignage et plein de courage.

      Aurélie

    19. J’aime beaucoup ton article. Pas long du tout car c’est bien écrit, donc on ne lâche pas le récit.
      Pour ma part je suis ”celle qui ne boit pas” a tel point qu’on oublie parfois de me proposer de l’alcool, parce que oui dès fois j’en ai envie. Pour faire une moyenne à l’année, je dois être à 2 ou 3 verres par mois en lissant, par exemple, sur janvier j’ai du boire un verre de blanc. Ce qui est compliqué c’est que je n’aime pas les boisson gazeuse et je trouve la plupart des jus trop sucré, alors souvent je me retrouve à demander de l’eau quand nous sommes invités et je sens bien que je déstabilise mon hôte.
      Mon homme est un handballeur, et là dans leur tram, c’est clair que je suis jugée, genre ”quoi de l’eau ? je ne sais pas si j’en ai … ça fait rouiller”, c’est vraiment chi**nt.
      Par contre ton article me fait réfléchir quand à ma consommation de pâtisserie : n’en prendre que quand ça vaut le coup. Je vais mettre ça en back office mental et le mettre en place dès que je serais sortie de mon burn in. Un changement important à la fois pour être sûr de la réussite

    20. Je ne bois jamais une goutte d’alcool, je n’en vois absolument pas l’intérêt et je déteste le goût de n’importe quel alcool, ce qui aide, mais je me retrouve dans ce témoignage car je grignote énormément et cette envie de sucre est omniprésente, une véritable drogue qui me « détruit ». Trop de fatigue, de « bobos » au quotidien. J’essaie, ça dure 1-2-3 semaines et rebelote…..

    21. Chère Lucile, merci pour ton article qui m’aidera peut-être à réussir ce challenge et parvenir à ne boire un verre qu’occasionnellement. Un grand bravo ? à toi! Tout comme toi je suis une working Mum´ addicted au yoga et au running pour ma part. Je ne bouge qu’à vélo mais j’ai aussi cette f….g habitude du verre de blanc le soir . Un seul mais indeccrotable ? merci pour ton retour inspirant!

    22. Merci pour ce témoignage , une prise de conscience qui prend forme grâce à tes mots …mes maux , un quotidien qui me parle et que je veux changer . En te lisant , je pense que c’est possible et qu’il faut le faire pour les bonnes raisons que je connais mais que tu confirmes aussi par ton retour d’expérience . Bref , un article qui n’est pas trop long et qui permet à bcp de s’identifier , de se projeter vers une nouvelle vie , merci .

    23. Bonjour Lucile et bonjour à tous et à toutes ! Déjà merci pour le partage de ton histoire et bravo pour le défi que tu t’es lancé ! Personnellement je me sens totalement extérieure à tout cela car je ne bois pas du tout d’alcool, jamais. Je voulais juste rebondir sur la façon dont les gens qui boivent beaucoup pensent qu’on les voit: « fort », « fun », « festif », croyez moi ça ne sont pas les premiers adjectifs qui me viennent en tête, dans mon entourage ceux qui boivent pas mal sont plutôt lourds, grossiers et agaçants au fil de la soirée. Par contre ils sont bien contents d’avoir un partenaire qui ne bois pas pour conduire la voiture et rentrer à la maison. J’assume totalement de ne pas boire d’alcool dans le sens où je ne ressens pas celà comme un poids socialement, je suis en adéquation avec mes convictions. Bonne continuation à tous et à toutes dans votre chemin vers le bien être.

    24. Mais mille mercis pour cet article! Autant sur des courtes vidéos ça peut m agresser … mais là je m y retrouve .. ça fait longtemps que j y réfléchis… toutes ces stories insta avec le # … #jeudredi … ça a l air fun les bulles ou le spritz le jeudi… parce qu on ne sait plus attendre le week-end !!! Alors je fais partie de cette team … A un moment il faut sans doute se remettre en question… tellement peu d alternative alléchante entre soda et jus de fruits ! Je n aime pas le sucré… mais c est peut-être une excuse … en tout cas c est top cette nouvelle approche… ce nouveau message …

    25. Surtout pas trop long cet article, Merci Lucile.
      Mon mari ayant arrêté car trop de soirées ou journées arrosées.
      Je ne l’ai pas suivi, mais moi je ne bois pas d’alcool seule à la maison et de toute façon c’est pas souvent les soirées entre amis (la bonne excuse)
      Les fêtes… Le mari qui revoit un peu de champagne car se dit mais non mais je vais réussir à gérer le juste une coupe…
      Mais non! Moi je suis un peu pareil, je ne m’arrête pas en soirée mais voilà c’est qu’en soirée (toujours la bonne excuse)
      Puis vient ton Dry january je me dis ouahh quel force! Puis une soirée collègues ( bar, boîte)…
      Après ça prise de conscience, je te suis, bientôt 4 semaines sans alcool et ouahhh ça fait du bien.
      Même objectif pour la suite, modération et pas systématiquement. ?
      Encore Merci

    26. Merci pour ce témoignage tellement vivant et qui parle à beaucoup de personnes !
      Chez moi séparation a été synonyme de changement de vie bien évidemment… avec beaucoup de sport mais aussi de sorties donc d alcool….. Et c est vrai que je m imagine(certainement faussement) moins pouvoir décompresser avec un verre de coca zero qu avec une bonne bière ou verre de vin….
      Merci merci pour ton témoignage et pour oser parler de sujets socialement délicats mais tellement essentiels !

    27. Merci pour cet article Lucile. Très enrichissant très inspirant (et non pas trop long j’en voulais encore!)! Merci de partager cela avec nous. Cela n’a pas dû être facile de l’avouer. Je vois bien en consultation avec mes patients beaucoup ont « honte » de dire qu’ils boivent régulièrement. Bravo à vous!

    28. Bonjour moi j ‘ai commencé le 2 janvier 2023 sans alcool et cigarette. Cela fais 47 jours et je me sent en pleine forme, mémoire, motivation, j’ai perdu 3kg trop bien et je compte continuer….

    29. Merci Lucile pour ton témoignage qui ne peut être qu’apprecié car il est sincère et vrai!! Ce n’est donc absolument pas trop long, au contraire!! A chaque fois j’ai l’impression que tu es à côté de moi et que c’est à moi que tu t’adresses et à qui tu racontes ton histoire ! Tu es captivante!! Et quelle énergie!! Bravo!! ??

    30. Bonjour à tous,
      J’ai arrêté de boire de l’alcool il y a presque 2 ans. Au départ pour tenter d’améliorer ma santé : problème de circulation sanguine dans les jambes. J’avais mal nuits et jours avec l’impression que mes jambes allaient exploser !
      Je passe d’aperos chaque soir à ZÉRO ALCOOL !! Bah c’était beaucoup plus dur que d’arrêter de fumer ?.
      Incompréhension de la famille en début, puis ils ont fini par accepter et respecter.
      Le gain est immédiat !!! Plus aucune douleurs. On retrouve de l’énergie, de la clairvoyance, de la créativité, un bon sommeil… Bref c’est illimité, je n’ai pas fini de faire le tour de la question !
      Aujourd’hui, le vin c’est de temps en temps avec mon mari ou les amis.. 1 verre seulement, sinon l’addition est salé ?
      Bonne chance à tous dans vos découvertes de ce monde différent ??

    31. Bravo pour ce challenge !
      L’article n’est pas trop long et c’est super intéressant de lire ce genre d’expérience.
      Pour la part je n’ai pas d’appétence pour l’alcool (je suis migraineuse et l’alcool est un élément déclencheur). En revanche je pourrais reprendre ton article en remplaçant le mot « alcool » par le mot « sucre » ! Un bout de chocolat en appelle un autre puis la plaque (même du 75%). Le sucre partout : dès qu’on va dans la famille, les voisins, un collègue qui apporte un gâteau (on a la sensation d’insulter la personne si on décline la petite part), la galette des rois, … bref. Et la fatigue et l’agacement qui s’en suit après l’ingestion du sucre, la perte de patience.

    32. Coucou Lucile,
      pour ma part, j’aimais bien mes deux petits verres le samedi soir et une bonne bouteille de champagne pour un événement, style Noël, anniversaire tout le tralala.
      Avec le confinement je me suis mise au sport, j’ai perdu 20kgs d’où j’ai suivi tes programmes.
      Maintenant je me débrouille.
      Et l’alcool je l’ai arrêté aussi au début du Covid et ça fait un bien fou.
      On peut tout à fait passer de bon moment avec la famille ou son conjoint sans ça et des barres de rire.
      D’ailleurs le sport détend surtout à une demi-heure.
      C’est le pied.
      Alors bon courage à toi Lucile et on s’en fou des remarques des gens.

    33. Bonjour Lucile. Je vous ai déjà écris sur le sujet. Faites comme vous le sentez. Tant mieux si vous avez compris que cela allait vous aider à être mieux. Pour d’autres comme moi, on arrive à saturation et c’est un cas de vie ou de mort. Il faut arrêter là ! Déjà l’abstinence est une priorité après le reste on verra. On peut pas être bien avec soi-même quand on est alcoolique, donc le reste malheureusement doit patienter et être mis en second plan. C’est l’abstinence qui est primordial et ça doit le rester pour le restant de sa vie. Voilà quand on est alcoolique. C’est le plus grand challenge de toutes sa vie, plus qu’un Ironman ou n’importe quel type d’endurance.

    34. Bonjour,
      Je trouve que votre message est excellent et vraiment honnête. C’est ce que j’apprécie chez vous et Charles le nutritionniste.
      Il y a 2 mois je me suis rendue compte en tenant un carnet jour après jour que je tendais à vraiment être sur la pente de l’alcoolisme et comme vous dites cela va très vite. Je n’avais jamais vu avant d’avoir 32 ans ( except 1/2 verres à Noël). Après je suis allée vivre 4 ans à Londres ( les anglais avouons-le ont un sacré level niveau alcool…) . J’ai pris le pas en buvant vraiment bcp avec les copines ( genre 3 bouteilles faciles chacune !) Et puis je suis rentrée en France et j’ai continué seule ( mon mari ne boit pas. Il déteste le goût donc zéro pression sociale. Je me suis rendue compte que je buvais ts les jours 1/2 bouteille de rouge . Et puis j’ai repris des études à l’Université. Alors là ça a été un vrai festival de conneries niveau alcool. Tout y passait et plus pour me faire plaisir mais pour gérer mon stress ce qui est vraiment stupide mais dont j’ai eu pleinement conscience. J’ai décidé de me faire aider par la psy de l’université et depuis ma consommation est totalement différente même si c’est très dur parfois. Je bois toujours mais modérément. Je tiens un carnet day by day pour bien me rendre compte de ma consommation et ne plus faire l’autruche. Arrêtez totalement non . J’aime trop le vin rouge mais avoir une consommation que lorsque que c’est juste 100% par envie et non par besoin voilà à ce que je tends et voir ce que vous faites, votre témoignage est vraiment très important pour moi alors merci beaucoup à vous.

    35. Merci pour se partage qui donne à réfléchir. J’ai travaillé comme GO au club med il y a longtemps, et dans notre travaille nous passons du temps avec les clients. Ce temps c’est à l’apéro, avant le déjeuner, durant le déjeuner, à l’apéro avant le diner, durant le diner, puis au bar après le spectacle. Je n’ai jamais été une grande buveuse, je n’ai d’ailleurs commencé l’alcool qu’a 25ans car avant je n’aimais pas cela. Ma consommation se limitait au soirée du vendredi soir et/ou samedi soir entre amies. Quand j’ai commencé à travailler au club med, je pensais être raisonnable car je me limitait a un seul verre à chaque fois. Puis un jour j’ai fait le compte. Finalement un seul verre c’était quand même : 5 verres par jour. Et ça, ça c’était quand j’étais en mode je fais attention, alors les moments plus fun, quand je faisait la fête au night club je prenais bien plus de verres et ensuite, ont avaient besoin de se détendre après la soirée entre GO, loin des clients, et ont buvaient encore. C’est ainsi que j’ai fais mon premier et unique Black out de mon existence. Ce fut un wake up call. Après ça j’ai essayé de faire de mon mieux pour limiter ma consommation, mais au club med en tant que GO c’est quasi mission impossible. Malheureusement beaucoup de GO qui y travaillent depuis un certain temps sont alcoolique. 5 verres par jours tout les jours !!! Imagine.
      Hors de cette environnement cela à été plus facile a gérer, mais il est vrai, que dans les conventions social, quand on bois peu, ou pas, cela gêne. On passe pour la nana pas fun et pas rigolote. Il y a encore beaucoup d’incompréhension. Souvent pour ne pas froisser, je prend un verre et y trempe mes lèvres toutes la soirée… Preuve qu’il y a encore de la route.

    36. Très bon article qui me fait réfléchir! Surtout le soir avec les enfants, lorsque je ne bois pas je fais tellement plus de choses avec eux , dans des moments de qualité… de plus j’ai 2 ados à qui je me dois de donner l’exemple!
      Je vais au Crossfit le mardi matin de 7h-8h pour m’obliger d ne pas boire le lundi qui est une journée difficile au travail… bref toutes les excuses sont bonnes pour un petit verre de vin blanc! Même si j’ai pu corriger la semaine, j’ai l’impression que je n’attends plus que le vendredi pour me lâcher. C’est triste! Et quelle démotivation de faire des activités après l’apéro… je suis en train d’en prendre conscience et lire cet article m’aide à tenter l’aventure! Merci chère Lucile pour ton partage et ton inspiration!

      1. La prise de conscience est le premier pas vers le changement ! Je ne peux que vous encourager à vous lancer !

    37. Bonjour;
      L’article n’est pas trop long bien au contraire. Dans le même cercle depuis le confinement. J’aimerai tellement mais tellement arriver à ton résultat ! Je compte et recompte le nombre de verre pris dans la semaine (10-15) , je me dis c’est trop, j arrête. Arrive le soir et là je craque allez juste 1 verre ..
      en tout cas bravo et merci de casser ce tabou!

      1. Il faut essayer. Encore et encore. Ne baisse surtout pas les bras, toi aussi tu peux le faire !

      2. Ça fait réfléchir. Parfois aussi j’ai bien envie de cette bière bien fraîche, après une journée difficile ou même juste super kiffante au soleil, ou de ce petite verre de vin tranquillement, pour souffler.
        Mais en même temps je suis constamment sur mes gardes, 2 parents alcoolique ça va vite, on ce dit qu’on y sera jamais et puis quand on regarde vraiment, on est pas faire de soi.
        Perso, c’est ce mal de tête depuis ma soirée arrosé, le fait d ème levé la nuit, les angoisses la journée. J’ai l’impression d’un cercle vicieux pour une soirée, ça n’en vaut pas la peine.
        Heureusement j’arrive souvent à ma limité à une. Mais si je peux faire 1 je peux faire 0. Mon défi perso.

    38. Alors, là, bravo ! Je me souviens avoir mis un commentaire sur une de tes newsletters au sujet de l’alcool. Personnellement, je ne bois presque plus suite à 2 grossesses assez proches puis allaitement long qui m’ont fait perdre l’habitude. Et je goûte juste, un quart de verre, et ça me suffit. Par contre, je suis bien toujours assez accro au sucre, donc bon !…

    39. Bonjour Lucile. Bravo, chapeau et merci beaucoup pour cet article ! Tu as très bien décrit ma vie. Et oui j’aurais tellement aimé
      d’arrêter aussi, mais je ne me sens pas prête. Je pense que je vais relire cet article tous les vendredi soir, avant que ça commence. Merci d’être la. Prends soi de toi.

    40. Lucille, j’ai adoré ton post. il est vrai et inspirant. moi plus je vieillis moins je bois !!! contrairement à beaucoup, je pense que, pour nous, le confinement a été source de sevrage 🙂 ou presque et depuis je ne bois plus autant qu’avant, je ne tiens pas !!!! lors de ta dernière vidéo tu as parlé de faire un bilan de sa consommation d’alcool sur le site de l’état, je ne me suis pas encore lancée mais l’idée fait son chemin. ton retour d’expérience est très intéressant car emprunt de sincérité, comme d’habitude.
      Merci encore et bon courage pour la suite.

    41. Bonjour Lucile,
      Merci pour la sincérité de ton témoignage.
      En fait je m’y retrouve énormément, 42 ans maman, femme active, sportive, alimentation IG bas, méditation… je fais attention à ma santé mais voilà puisqu’il y un mais … mon conjoint est courtier en vin !! ???
      Alors forcément c’est là que ça se complique. Je ne bois pas en semaine mais le week-end j’arrive sans problème aux fameux 10 verres. Moi aussi je tiens la route, je couche ma fille et je me démaquille mais le lendemain c’est des fois le floue. J’ai pleinement conscience qu’il faut que je diminue mais mon conjoint qui lui boit beaucoup et tous les jours n’a aucune volonté et aucune motivation. J’ai peur pour lui et pour nous…

    42. C’est un article qui m’a vraiment touchée. Premièrement j’apprécie que tu dévoiles ce qui va et ce qui ne va pas dans ton mode de vie, on parvient davantage à s’identifier, ça nous rapproche de toi. Ensuite, j’ai beaucoup apprécié que tu parles de l’alcool et des conséquences sur tes relations humaines, notamment avec tes enfants. Pour avoir grandie dans un environnement avec un parent alcoolique, ton témoignage est assez précieux et je pense même à le partager avec ce parent, qui est toujours alcoolique. Comme tu dis, l’alcool est insidieux et même en petites quantités mais fréquentes, l’alcool fait des dégâts importants. Merci encore et belle journée

    43. Lucile, je te remercie pour cet article sur l’arrêt de l’alcool. Je me reconnais bien également, et cela me questionne beaucoup depuis quelques temps. J’avais fait le dry january l’année dernière, contente de me prouver une pseudo non-dependance, et puis j’ai repris mes habitudes ensuite. J’ai refait le dry january cette année, et me suis sentie tellement bien que j’ai décidé de continuer, sans me mettre la pression, tellement je suis plus en forme qu’auparavant. Même type de consommation que toi: rien du lundi au jeudi, puis lâchage ! Nous sommes le 17 février. Et hier soir, nous avons ouvert une bonne bouteille avec mon mari autour d’un bon repas en amoureux, et ÇA c’était très chouette ! Je compte bien ne plus boire, sauf quand, comme tu le dis ça vaut le coup! Bises

      1. C’est fou comme on se sent mieux ! Bravo pour cet engagement, tu peux être fière de toi !

    44. Mais non ce n est pas trop long !
      J ai moi aussi arrêté complètement l alcool le 1janvier 2023. Un dêfi lancé avec un de mes fils qui buvait trop avec sa bande de jeunes potes !
      Comme toi , je ne buvais « pas Tant que cela « mais J’arrivais difficilement à passer une soirée sans mon petit verre de vin , champagne ou mousseux , festif , relaxant , cool , Chilling out etc
      Depuis , je dors mieux !delongues nuits sans réveils intempestifs
      Je n ai plus mal à l estomac et j ai pu arrêter quasi les médicaments anti acide
      Je n ai pour ma part pas vraiment remarqué d effets sur les courbatures que je considère comme la preuve que l entraînement était assez intense .je n ai pas de courbatures autres après un yoga , tai chi , danse mais bien après jogging et musculations
      diverses
      Courage Lucille , tie@ns bon !
      Nathalie

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