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Sport & enfant, comment développer le mental fort des petits sans les dégoûter 

    Alors que les ré-inscriptions pour les associations sportives battent leur plein, vos enfants vous ont peut être demandé à arrêter le sport qu’ils pratiquaient cette année ? Ou au contraire, vous ont demandé d’en faire plus d’heures, ou de s’inscrire à un autre sport en plus, ou d’essayer encore quelque chose de nouveau ? 

    Toutes mes recherches / lectures récentes quand à la force mentale parlent presque toujours de l’importance de l’éducation et du rôle des parents quand à la résilience des futurs adultes. Dans les deux sens. C’est à dire qu’un parent ultra impliqué peut tout à la fois rendre un enfant plus fort physiquement et mentalement, ou au contraire le casser dans sa progression. De même que des parents absents peuvent jouer un rôle moteur pour un enfant qui aurait déjà de la force mentale en lui, ou au contraire : diminuer d’autant plus sa confiance en lui. 

    Avant 8 ans : le sport « pratique »

    Si vous en êtes au tout début : c’est à dire que ce sont les 1er inscriptions pour un enfant de 5-7 ans, mon conseil c’est d’aller au plus pratique. Inscrivez votre enfant à un sport pas trop loin de chez vous, et à un sport qui vous plait à vous en tant que parent. Pourquoi ? 

    • parce que ce sera facile de l’emmener 
    • Parce que vous aurez envie de l’emmener. 

    Ces deux facteurs très simples orientent l’enfant vers une pratique régulière et plaisante. Les enfants ont surtout besoin de voir que leurs parents approuvent leurs efforts physiques, qu’ils prennent du plaisir à les regarder et qu’ils s’intéressent au sport en lui-même.

    Donc si votre enfant a moins de 8 ans, et qu’il veut faire du karaté alors que c’est méga loin et que vous n’aimez pas du tout les arts martiaux … Orientez le vers un sport proposé dans votre quartier et que vous aimez pratiquer. Il est de très grande probabilité pour que votre petit enfant au final adore ce sport que vous lui « forcez » parce qu’il partage avec vous ce moment en plus dans sa vie. 

    Autre information très importante à retenir : si vous souhaitez que vos enfants soient sportifs, cela vous demandera ÉNORMÉMENT de temps !! Parce que vous devrez les emmener à l’entraînement, les regarder assez souvent, les emmener au match / competition / tournoi / gala / tests … Si vous ne le faites pas : ça ne marchera pas. Si vous vous plaignez souvent des matchs de foot le samedi matin à perpèt les oies, si vous n’allez jamais voir votre enfant s’entraîner, si vous n’assistez à aucune de ses représentations : votre enfant voudra très probablement arrêter avant la fin de l’année. 

    Alors oui je sais, ça n’est pas simple et cela demande de s’organiser à mort. Horaires de travail, se lever le week-end, covoiturage avec d’autres parents … je pense d’ailleurs qu’il y a un énorme sujet là-dessus en France. C’est très difficile d’être employé et d’emmener ses enfants à 18h au judo. Certaines villes et associations emmènent les enfants vers les lieux sportifs après l’école, mais ça reste trop rare, trop au cas par cas. Il est vraiment nécessaire que les mairies et les associations travaillent mieux ensemble, au primaire notamment. 

    Ne résistez pas au sport choisi

    En revanche, si votre enfant grandissant réclame toujours un autre sport – que vous n’aimez pas trop : arrêtez de résister !! Si vous n’aimez pas le rugby mais que votre enfant vous réclame toujours le rugby 2 ans plus tard : inscrivez le au rugby et soutenez le !! Votre enfant fait preuve de persistance dans sa passion : c’est une chance et une démonstration de force mentale, encouragez le, et mettez vos principes aux oubliettes. Tous les sports sont bien. Le foot, le rugby, la boxe, le tennis, la gym … il n’y a pas un sport mieux qu’un autre. Le meilleur sport, c’est le sport que votre enfant a envie de pratiquer ! 

    Nous l’avons vraiment vécu avec notre fille, qui voulait absolument faire de la natation synchronisée. Alors que nous souhaitions qu’elle continue une 2e année de natation, elle nous a vraiment demandé de découvrir la natation artistique, alors que nous avions (mon mari et moi) de gros apriori sur cette discipline sportive. Au final, nous lui avons fait confiance, et à 8 ans elle a démarré la synchro. Je me suis forcée au début à découvrir ce sport, à aller voir des compétitions avec elle, à regarder des vidéos … Au final elle adore tellement que nous aussi, et nous sommes super fiers de l’accompagner dans ce sport fabuleux qu’elle nous a fait découvrir. 

    Idéalement 2 sports au début

    Quand vos enfants sont encore petits, l’idéal est de leur faire pratiquer plusieurs sports différents, pour développer un maximum de capacités physiques variées. Par exemple : un sport collectif de balle, et un sport individuel d’adresse. (Foot et equitation par exemple. Ou handball et tennis. Ou natation et hockey sur gazon…) Idéalement : un de ces sports se pratique dehors. La lumière du jour est vraiment très importante, et les enfants sont beaucoup trop en intérieur, surtout l’hiver. Le foot, le rugby, l’athlétisme, l’équitation : ont vraiment un avantage d’être pratiqués dehors. N’importe quel sport extérieur est vraiment à privilégier. Il y en a des dizaines !

    Quand les spécialiser ? 

    Je sais que dès qu’un enfant est assez fort dans son sport, on a vite tendance en tant que parent à les imaginer sur le podium des championnats de France, et à les pousser à bloc pour être meilleurs. Oui, c’est un super état d’esprit MAIS, toutes les recherches en la matière montrent que les sportifs de niveau national et international se spécialisent TARD. À savoir après leur puberté. (Sauf pour la gymnastique qui favorise une spécialisation très jeune). En effet il est très fréquent que des enfants développent des capacités physiques tôt, parce qu’ils ont une croissance ou une puberté précoce. Leur masse musculaire et leur force physique se développant donc plus tôt que leurs camarades. Mais après la puberté de tous les enfants terminée, il y a très souvent des retournements de situation, ou des enfants moyens dans leur sport détrônent totalement à 16 ans ceux qui cumulaient les podium en minimes ou cadet. 

    Aussi, mon conseil c’est d’être patient, en incitant vos enfants à se frotter un peu à la compétition, tout en privilégiant le geste technique. C’est-à-dire : inciter votre enfant à jouer aux matchs de foot, à s’aligner aux compètes de natation, tournoi de tennis … Sans leur demander trop de résultat mais plutôt analyser leur geste techniques : passe, accélération, placement, qualité de bras, finesse du revers … Vous voyez ? Et s’ils sont bons : tant mieux. Continuez à leur faire pratiquer d’autres sports à côté et n’ envisagez la spécialisation qu’à partir de 14 – 15 ans. C’est bien assez tôt ! (Oui même en foot !!!)

    L’attitude des parents et des coachs enfin, est absolument primordiale. Et vous avez un double rôle à jouer. Vous devez faire confiance à l’entraîneur. On a vraiment de la chance en France avec les associations sportives qui nous permettent d’avoir des vrais professionnels formés qui s’occupent du sport de nos enfants. Dans d’autres pays européens (Irlande, Angleterre par exemple) il est très fréquent que ce soient des parents bénévoles qui s’occupent des enfants dans les 1er années de pratique sportive. Une grosse erreur à mon avis, puisqu’ils n’ont pas de formation à la psychologie du sport et de la motivation, et peuvent – sans le vouloir- facilement dégoûter des enfants. 

    Donc faites confiance à l’entraîneur oui, mais si vous sentez que votre enfant n’est pas motivé : parlez à cet entraîneur. Pourquoi mon fils qui adorait le handball, a soudainement envie de tout arrêter. Que s’est-il passé ? Un match, un copain, une ambiance à déplorer ? Pourquoi ma fille a mal au ventre avant ses entraînements de natation 1 soir sur 2 ? Est-ce que les chronos sont trop durs à respecter, une compétition de trop, une salle ambiance dans les vestiaires ? 

    Encore une fois : cela vous demandera de la présence, de l’attention, un lien régulier avec les entraîneurs. Assurez vous que votre enfant prend du plaisir, s’amuse, et apprend des choses nouvelles dans son sport, qu’il peut prendre aussi des décisions. Parfois ils peuvent choisir l’atelier sur lequel travailler sur la séance, parfois un enfant invente une nouvelle règle du jeu pour tester, parfois c’est la déconnade et on joue au foot à reculons… LE JEU, la bonne ambiance, la progression forment le triangle de base de la motivation. 

    Loisir ou compétition ? 

    Un peu de deux ! Vous augmenterez la force mentale de votre enfant en le forçant à s’aligner à un match un samedi matin même s’il pleut ou qu’il n’a pas envie. Vous lui demanderez de faire de son mieux et le féliciterez d’avoir participé à la fin. La reconnaissance qu’un enfant reçoit de son parent ou de son coach après un effort difficile est fondamentale. Votre rôle n’est pas de lui dire de gagner ou qu’il a mal joué. Mais d’être là pour le regarder, d’être fier de votre enfant et de l’aimer dans sa pratique du sport. 

    Si votre enfant n’a vraiment pas envie de faire de la compétition : poussez le quand-même, au début. Pour les mêmes raisons. Encouragez ses progrès et sa ténacité. 

    En revanche s’il pleure régulièrement, si ça se passe vraiment mal : parlez en à l’entraîneur, envisagez un autre sport. Mais poussez le à faire du sport quoiqu’il. 

    Oui, je suis désolée de le dire, mais il faut pousser ses enfants régulièrement à faire leur sport. Parce que même s’ils aiment, il est fort possible qu’un jeudi soir à 18h, alors qu’il fait froid et nuit, votre petit chéri vous demande à rester à la maison. C’est non. Il y va. Il est malade ? Sauf fièvre ou énorme toux : il y va. Il se sentira mieux après son sport, même s’il fait une séance plus cool, et qu’il l’explique à son entraîneur. 

    Et si votre enfant au contraire a envie de faire plus, de s’engager plus à fond dans son sport: dites oui. Et trouvez l’organisation qui va avec. C’est tellement rare des enfants qui se passionnent pour quelque chose. Vous avez vraiment un rôle moteur pour lui insuffler d’aller en direction de ses passions. Même si ce n’est pas votre truc. Votre enfant adore la planche à voile alors que vous détestez le vent ? Il voudrait s’entraîner tous les jours, faire sport étude, et se donner à fond ? Alors qu’il est bon en français et en histoire géo et que vous le verrez mieux en Cagnes Hypo-Cagnes ?? NON !!! Laissez le faire de la planche à voile à fond. Soutenez-le. Et ses capacités en français histoire géo lui permettront d’attérir plus tard à l’endroit où votre enfant se sentira le mieux du monde. 

    On n’arrête pas le sport au profit des devoirs ! 

    « Arrêter le sport » pour pouvoir faire plus de devoirs en seconde, 1er, Terminale : je trouve que c’est insupportable. On ne le ferait pas pour un enfant virtuose ou passionné de piano, ou de dessin, ou de théâtre.

    D’ailleurs, tous les apprentissages scolaires peuvent se rattraper assez facilement si un jeune adulte est motivé par le sujet. 

    En revanche : aller au plus loin possible dans sa jeunesse pour le sport que l’on aime, ça ne se fait qu’une fois dans sa vie. Et ça ne se rattrape pas. Si vous arrêtez la natation à 15 ans parce que vous avez trop de devoirs (mon cas! …) vous ne retrouverez jamais le même niveau à 22 ans 23 ans une fois les études terminées. 

    Si vous arrêtez le foot à 16 ans pour « mieux vous préparer » au bac, vous ne retrouverez jamais votre niveau cardio une fois les études terminées. 

    Les 1er années d’étude doivent rester sportives

    Je termine mon article sur ce sujet que je trouve scandaleux. La majorité des étudiants ne font pas de sport. Faute d’infrastructures, de moyens financiers personnel, et de clubs ouverts à leur pratique. 

    Je sais que c’est en train de changer, et tant mieux, mais restez vigilants en tant que parents. Le cerveau des êtres humains n’est mature qu’à l’âge de 25 ans. Avant cela, les enfants ont encore besoin d’un parent guide pour les orienter vers les meilleurs choix. 

    Perso je me rappelle que ma mère nous offrait tous les ans à Noël à ma sœur et moi, notre abonnement en salle de sport, lorsque nous étions étudiantes. 

    Mais j’aurai profité encore plus d’une équipe de natation à la fac, ou d’un projet de course à pied ou d’escalade sur le campus. A l’époque là où j’étais il n’y avait rien de la sorte. Sauf pour les Staps ! 

    Poussez encore et toujours vos enfants à faire du sport avec un entraînement sérieux, même s’ils font des grandes études. Allez encore les voir, même à 22 ans, finir leur 1er semi marathon ou sur un match de volley inter étudiants. On est parent pour la vie, et d’autant plus dans l’accompagnement au sport. Courage à tous, ça vaut le coup !!!

    55 commentaires sur “Sport & enfant, comment développer le mental fort des petits sans les dégoûter ”

    1. Bonjour Lucile
      Ton passage sur « laissez les faire davantage de sport » m’a beaucoup parlé ! Mon grand (bientôt 14 ans) me demandait le karaté en plus du triathlon qu’il pratique depuis le CE1 et qu’il n’arrêterait pour rien au monde. Il me l’a demandé pendant 2 ans … 2 ans pendant lesquels j’ai freiné des 4 fers parce que 3 enfants, mari en horaires postés, je n’ai pas encore de bras qui ont poussé pendant la nuit … bref toutes ces raisons valables certes mais qui sont aussi très confortables pour nous.
      J’ai passé un contrat l’an passé avec mon fils : 1ère condition tu me ramènes les félicitations au conseil de classe et 2ème condition tu dois être autonome sur tes déplacements à vélo (4km) et ce été comme hiver ! (nous habitons en Moselle…il fait froid en hiver mdr). résultat l’an dernier il a effectivement reçu les félicitations au collège et s’est engagé à s’autogérer pour ses déplacements.
      J’ai donc rempli ma part du contrat et l’ai inscrit au karaté en plus du tri. Il finit son année hyper content de lui, toujours des félicitations au collège malgré les entrainements supplémentaires et un grand garçon qui a souvent râlé devant le déluge à devoir affronter mais qui s’est rappelé de sa promesse et a géré tout ça sans souci tout au long de l’année. Ses coachs ont souligné lors des remises de grade son assiduité et son investissement malgré le mauvais temps et les déplacements à vélo car « on est dans une société de zapping et ça fait du bien d’avoir des jeunes qui tiennent leurs engagements envers leur club, leur équipe, leurs coachs et qu’il faut aussi apprendre à nos enfants à se responsabiliser pour en faire des adultes forts et de confiance » … il était teeeeeellement fier !!! Je le pense plus fort mentalement qu’il y a un an grâce à tout ça (entre autres!).

    2. Oulala un article qui me fait réfléchir !! A mille lieues de ce que je pense/fait avec mes enfants. Pour ma part, j’ai tellement détesté le sport enfant/ado que j’essaie que ça ne soit que du plaisir pour eux et je ne les pousse pas du tout. J’ai découvert et apprécié le sport quand ça n’était plus obligatoire. Donc je n’oblige à rien, mais j’encourage et je pratique moi-même (essayer d’être un exemple).

    3. Dès que mon fils a eu 6 ans, nous l’avons inscrit aux sports. Il a testé le foot sans accrocher. Vivant au bord de l’océan, il fait en club du surf et de la natation, sports qu’il pratique depuis 2 ans maintenant. Cette année il ne faisait pas de conservatoire, pas réussi à choisir 1 instrument après l’année découverte. A la rentrée prochaine, il va continuer natation 2 fois par semaine, surf 1 fois mais seulement de septembre à novembre puis d’avril à mai, er on rajoute le théâtre normalement ! Il adore faire du vélo aussi. On l’encourage dans ses activités, il ne montre pas une grande passion mais ne rechigne pas y aller, il adore l’eau et n’est jamais fatigué après la piscine….

    4. Bonjour Lucile,
      Merci pour cet article, dont je partage le point de vue.
      Personnellement, mes parents ne m’ont jamais poussée à faire du sport alors que j’avais des qualités en natation et athlétisme, parce que j’étais bonne à l’école et que pour eux, on ne pouvait pas être intellectuelle et sportive. Je le regrette beaucoup aujourd’hui.
      J’ai fait l’inverse pour mes enfants, même si ce n’est pas tous les jours facile. On en a 4 qui font de la natation, de l’athlétisme et de la gymnastique. Tous en compétition. Donc entrainement 3 à 4 fois par semaine chacun, plus les compétitions certains week-ends. C’est fatigant, mais on le fait pour eux, pas pour la gagne, mais pour qu’ils acquièrent des valeurs telles que la ténacité, le travail, la gestion du stress,à apprendre à perdre aussi… Parce qu’on est persuadé que cela ne pourra que les aider à devenir des adultes plus forts mentalement (et en bonne santé aussi).
      Très bon week-end.

    5. Chez moi c’est le problème inverse. Mes enfants sont très sportifs et cela crée une belle émulation à la maison.
      Par contre, je suis seule avec cinq enfants et cela demande une organisation et parfois des renoncements. Ils me réclament souvent un deuxième sport mais c’est impossible au niveau organisation avant le collège (et l’UNSS qui est vraiment top pour découvrir de nouvelles activités), je ne peux pas les emmener à tous leurs entraînements (les plus grands se débrouillent, je m’occupe des petits), je ne peux pas non plus assister à tous les matchs/compétitions (merci les autres parents/entraîneurs qui les emmènent).
      Je regrette vraiment de ne pas pouvoir non plus les inscrire à la natation car c’est mon sport préféré mais trop contraignant pour les horaires et lieux. Ils savent nager mais j’aimerais qu’ils progressent niveau technique. Est ce qu’il y a un âge idéal pour ça ? Est ce que ça peut s’envisager pour des ados ? Est ce réalisable sur des périodes plus courtes type vacances d’été ?

    6. Ah si seulement les entraînements pouvaient être à 18h… ici c’est 17h depuis 4 ans et 2 fois par semaine ! heureusement il y a eu des années où on a pu s’arranger avec un autre parent ; le teletravail favorise aussi les choses, et jai la chance de travailler dans la meme ville, mais c’est toujours délicat de s’absenter vers 17h, en plein dans le créneau des réunions 😪
      Sport obligatoire ici aussi depuis la dernière année de maternelle, j’ai réussi à leur faire faire de l’athlétisme mais ça n’a pas pris alors elles ont continué la gym, avec compétitions. Ma 2e veut arrêter la compétition l’année prochaine car elle n’aime pas un des 4 agrès, on n’arrive pas à la faire changer d’avis, elle bloque dessus, donc elle va faire une année de loisirs et voir si elle a envie de reprendre…
      Et ma grande de 12 ans ui fait déjà 5h de gym, fait en plus du badminton avec le collège et vient quelquefois courir avec moi 😃
      Le sport, c’est la vie !

    7. Bonjour! Ici obligation de faire du sport ce n’est pas toujours simple de choisir ou inscrire les enfants en début d’année de jongler avec les plannings pro… déjà tous les déplacements se font a pied dans la semaine ce qui est juste le minimum vital à mon avis. Mais motiver une ado c’est pas simple et la cadette ne voulait pas s inscrire aux études sportives organisées par le périscolaire ce qui est quand même tellement pratique et permet de tester plein de sports différents. J ai du raler…

      Et il reste les vidéos de Lucile à la maison avec les enfants aussi quand il pleut trop 😜

      1. Lucile Woodward

        Oui il faut raler mais ça fait partie de notre job de parent… on râle pour se brosser les dents, pour être à l’heure, pour se coucher ….c’est lédcuation

    8. Je suis d’accord sur la grande majorité, mais ralentir un peu le rythme des compétitions pour laisser le temps de faire le travail scolaire, c’est possible et important, et les études, cela ne se rattrape pas non plus. Et oui, on le dit aussi à ceux qui font beaucoup de musique ou de dessin, il y a des moments où on doit ralentir, passer en mode loisirs, ce qui ne veut pas dire arrêter et ce n’est pas grave.

    9. Comme pour vous, j’étais réticente à ce que ma fille fasse de la gym car mauvaise expérience perso et à priori et finalement après 4 ans de pratique, j’adore la voir en compet, je connais les gym stars et je l’ai emmenée voir les championnats de France où j’étais aussi à fond qu’elle 😂 à 13 ans quand je vois ses copines arrêter le sport, elle continue de prendre plaisir dans son activité et ses 2 entraînements /sem. J’aimerais qu’elle fasse un sport cardio à côté ou qu’elle m’accompagne au moins en vélo quand je cours mais là j’ai du mal par contre, hormis gym, rien ne l’a tente. Et du coup, ses 2 petites sœurs se sont aussi mises à la gym et sont à fond !

    10. Merci pour ce super article Lucile !
      Je te rejoins totalement… Quand j’étais enfant / ado, mes parents ne m’ont pas fait faire de sport parce que je faisais de la musique et que ça aurait été trop compliqué j’imagine. Maintenant je me rends compte que ça serait tellement plus simple pour moi de progresser si j’avais commencé jeune !
      Pour mes filles (14 et 16 ans), on a fait différemment. Elles ont toujours fait du sport. La grande a tout arrêté en seconde, on n’a pas réussi à la motiver… Par contre elle a commencé récemment à courir et elle aime ça, on est inscrite ensemble à un petit trail en septembre 🙂
      Et ma petite a beaucoup changé de sports. Cette année elle a commencé le roller et la natation. Elle adore les deux et veut continuer. Et en plus elle s’est entrainée pour son premier triathlon XS ! Ca fait beaucoup, mais on la laisse. Par contre elle voulait aussi commencer la danse, là j’ai dit non…

      1. Lucile Woodward

        Super Marieke bravo pour l’inspiration que tu donnes à tes enfants !! On se doit d’être modélisant

    11. Bonjour Lucile, merci pour ton article super instructif:) j ai une question concernant mon fils de 7 ans qui aimerait arrêter la natation alors qu il en fait depuis tout petit ..j essaye de lui dire de continuer une fois au moins par semaine et qu en échange il pourra aussi faire du tennis (son souhait) mais je ne sais pas si c est une bonne idée..c est vrai qu il nage vraiment bien et que ça m embête qu il arrête aussi …
      Merci pour ton aide ☺️

      1. Lucile Woodward

        Nous on a dit à nos enfants qu’ils devraient continuer la natation au moins jusqu’au CM2. Pour être sur de très très bien nager. Ensuite ils verraient. Mon fils continue 3 fois par semaine, et ma fille est fan de synchro désormais. Insiste !!

    12. Bonjour Lucile,
      Merci d’aborder ce sujet.
      Effectivement l’implication dans le sport prend énormément de temps sur la vie de famille.
      Notre fils de 12 ans joue au golf en compétition, fais du foot et du badminton en plus
      Des compétitions prennent beaucoup de temps, et il faut parfois l’emmener assez loin.
      Quant à ma fille de 10 ans, depuis cette année, elle est focus sur le concours complet à Poney ,
      Elle monte quatre fois par semaine et idem les compétition. Le week-end sont souvent loin et peuvent parfois être étalé sur trois jours… Gros kif de cette première année : elle est qualifié pour les championnats de France en juillet
      À la maison le sport fait partie de l’hygiène de vie comme se nourrir se doucher.
      Nous leur apprenons à pratiquer sérieusement sans se prendre au sérieux.
      Moi-même, j’ai besoin de courir plusieurs fois par semaine en plus de l’équitation et du renforcement musculaire.
      J’explique aux enfants qu’on se sent toujours mieux dans sa tête et dans son corps, après avoir pratiqué un sport qui nous plaît, et encore plus si c’est en extérieur !
      Mais effectivement cela demande beaucoup aux parents, et j’entends des discours autour de moi ou certains ne sont pas prêts à faire des efforts de temps ou d’argent pour accompagner les enfants.
      Je trouve ça dommage …
      Merci d’éveiller les consciences avec vos mots
      Et je voulais vous dire que je vous retrouve petit à petit depuis l’été dernier… Vous vous étiez probablement perdu, et vous m’aviez perdu en même temps…
      Donc, bravo pour ce retour à la vie !

    13. Bonjour Lucile,

      Merci pour cet article très juste.

      J’ai arrêté l’athlétisme à l’entrée au lycée, plus de motivation , et pas poussée par mes parents qui eux ne sont pas du tout sportifs…

      Il y a 2 ans, ma fille qui avait 7 ans à ce moment là a voulu s’inscrire à l’athlétisme.
      ça tombait bien c’était juste à coté de chez nous.

      1ère séance je suis dans les gradins avec mon bébé de 1 mois en écharpe, je suis toute excitée pour elle qu’elle foule cette piste!

      Je vois juste à coté un groupe d’adultes qui s’entrainent et vais me renseigner.

      C’est une séance d’athléfit, de l’athlé mais pas de la compétition, réservée aux adultes.
      Ils ont choisi de faire ce cours à la même heure que les enfants!!!!
      Ils ont à mon sens tout compris
      Les enfants viennent avec leurs parents, et tout le monde s’entraine au même moment.

      J’ai donc après presque 25 ans d’arrêt repris ma licence d’athlé avec grande fierté.
      je ne rate jamais un entrainement qu’il neige ou qu’il pleuve. J’adore y aller avec ma fille.
      En plus de cette séance hebdomadaire, je cours 1 à 2 fois par semaine et j’ai pris plusieurs dossards pour des trails.

      Pour motiver les enfants à faire du sport il faudrait à mon sens proposer au sur le même créneau des séances aussi pour les parents.
      Belle journée!

      1. Lucile Woodward

        Merci Anne-Sophie superbe exemple ! Et bravo à ton club d’athlétisme qui a tout compris !!

      2. Par ici, c’est un peu pareil : aquagym pour moi (avec un super maitre-nageur passionné de biomécanique et qui aurait rêvé d’être kiné !) et cours de natation pour ma fille de 9 ans ! Ca c’est le samedi matin et le mercredi c’est équitation !

    14. Ah en voilà un article très intéressant pour le sujet ! Des tips à partager ! D’ailleurs ce sont souvent des discussions entre parents ! Quel sport, à quel âge ! Tu y réponds ! Oui il faut s’investir et faire du sport avec eux et faire du sport pour soi, pour que cela soit naturel, fasse partie de leur hygiène de vie ! les encourager ! Et leur faire comprendre l’impact sur leur moral, leur corps !

    15. Merci pour cet article, c’est assez rare de trouver des informations sur ce sujet.
      Mon fils de 9 ans a essayé le tennis, la boxe, le karaté sur les 3 dernières années et à chaque fois il finit par arrêter, parce que ça ne lui plait plus ou le groupe ne lui convient pas. Résultat, là il ne fait plus de sport et je n’arrive pas à lui trouver un sport qui le motiverait.
      Alors j’ai cherché des programmes à faire à la maison, adaptés aux enfants mais les contenus ne sont pas terribles. Lucille, tu ne pourrais pas nous faire un super programme pour les enfants ? 😉

      1. Lucile Woodward

        Je pense que pour les enfants il faut vraiment essayer de leur trouver un sport où ils se plaisent. Que font ses copains ? Est ce que tu le soutien dans l’effort ? Quel sport aimes tu toi ? Vous pouvez faire un sport en d

    16. j’ai 2 garçons de 17 et 14 ans. le sport a toujours été obligatoire chez nous et quand on commence une année, on la finit même si on a le droit de changer de sport l’année suivante. pour l’aîné, depuis ses 10 ans, c’est facile : il est tombé dans le kayak et est même en internat sport études pour ça. je confirme que ça lui a beaucoup apporté y compris quand il fini au pied du podium durant 2 ou 3 ans : quelle persévérance et quelle maturité ! en plus il a de bonnes notes. pour le 2eme, ça été plus compliqué : foot, skate, basket. mais 2eme année de basket, il s’entraîne 2 fois par semaine et ne loupe aucun match. je crois que c’est bien parti! 😜 et pour finir, 2 ados bien dans leur peau et sympas.

    17. Merci pour ce super article : ça va m’aider pour les années à venir!

      Ma fille vient d’avoir 6 ans et cette année elle a fait sa 3ème année de danse classique. Ses 2 premières années elle a adoré ça. :)!
      Malheureusement cette 3ème année elle l’a faite (déménagement oblige) avec une nouvelle professeure de danse qui ne lui apporte pas du tout le même type d’apprentissage. L’année d’avant ma fille dansait tout le temps à la maison et demandait continuellement à faire des spectacles pour toute les personnes qui passaient à la maison et cette année plus rien…
      Je me suis posée la question d’organiser une journée dédiée pour l’emmener le mercredi au cours avec sa 1ère prof qui lui donnait l’envie de danser. Mais il faudrait compter 3H A/R sur la journée en RER pour aller à Paris et comment organiser ma journée en télétravail sur ce mercredi alors que je débute un nouveau poste en septembre…? Un peu mission impossible 🙁

      Du coup comme tu le préconisais j’ai regardé plus près, plus pratique… et j’ai trouvé une alternative proche : la gymnastique rythmique. On a fait un cours d’essai il y a 2 semaines, elle a vu de jeunes gymnastiques à l’entrainement et depuis ma fille a ressorti son collant et son justaucorps et s’est remise à danser!

    18. Mon fils a commencé le foot à l’âge de 5 ans puis il voulait plus. A l’école il se faisait battre par des plus grands donc je l’ai mis au Wingtsun Art martial chinois. Je faisais moi même de l’aïkido mais il devait avoir 12 ans pour venir à mon Club. bref il a totalement accroché. Puis il a voulu changer. donc pause d’1 an pour se rendre compte que finalement c’est ça son truc. J’ai moi même commencé le Wingtsun apres la fermeture de mon Club d’aïkido. Et du coup on va ensemble à l’entraînement et c’est super FUN. En plus on partage une passion. commune qui renforce nos liens. Parfois il faut laisser le temps faire les choses sans mettre trop de pression. Merci en tout cas pour cet article intéressant.

    19. Bonjour Lucile, je suis à 100% d’accord avec ton article ! Mes filles font du foot et en effet ce n’était pas ma tasse de thé . Et bien j’ai découvert une super ambiance, solidarité, et ça les aide tellement à prendre leur place. Oui c’est contraignant, mais ce sont toujours des bons moments, et les parents s’entraident pour les déplacements. Je me souviens d’un cours l’hiver, il faisait nuit et il s’est mis à neiger. Les filles ont adoré, là où les adultes auraient certainement laissé tomber. Idem pour le surf l’été en vacances. l’année dernière il y avait 1 cours à 7h30 du matin, certains parents n’ont pas emmené leurs enfants au cours, on nous a même dit que c’était « une connerie ! » alors que c’est un de nos meilleurs souvenirs de vacances à tous les 4 ! Super vagues pour les enfants, et très bons souvenirs avec les parents, à prendre un café après certes une petite nuit (on était sorti la veille) mais sur une plage vide avec le soleil qui se lève. Je te raconte ma vie, mais c’est si rare de lire un tel avis que ça me parle bcp ! Merci !

    20. Bonjour,

      J’en suis tellement convaincue et je m’investis beaucoup ce ue beaucoup de personnes ne comprennent pas. Ce qui est dur c’est d’être aussi enthousiaste quand un des enfants est trés doué et l’autre moins dans le même sport pour que l’un ne se décourage pas.

      Bonne journée

    21. bonjour
      ma fille est en Khagne et passe en hypokhagne, et dans le lycée de sa classe prépa ils ont 2 heures de sport tous les 15 jours, c’est peu mais c’est tellement plus que pour n’importe quelle fac. C’est le vendredi en fin de journée, donc après 4 à 6 heures de DST, elle y va a reculons mais finalement en ressort fatiguée et reboostée.
      En dehors elle fait du pilâtes tranquillement dans le cocon de sa chambre, elle essaie de s’imposer un rythme.
      pour le plus petit en 5ème, il change de sport quasi tous les ans, en dehors du tennis de table avec l’AS du collège il ne tient rien plus d’un an, alors on change.
      bonne journée

    22. J’ai 3 grandes filles et elles ont toujours été très sportives. EN effet je les ai suivies accompagnées toutes les 3 dans tous les sports qu’elles ont fait et en effet pas facile à s’organiser avec le boulot..mais le co voiturage a bien fonctionner!. La grande a fait du cheerleading à niveau international elle s’est éclatée mais a malheureusement tout stoppé post covid en étude sup..Difficile de la remotiver à repartir depuis 3 ans sur une activité… mais depuis un mois elle suit des cours une fois par semaine à son stage à midi..j’espère qu’elle va retrouver un sport qui va la remotiver..la 2è ultra sportive part en étude sup à 700km de chez nous ! mais je pense quelle va continuer à faire de l’escalade, le skis (après les Pyrénées elle va découvrir les alpes!) et peut être du tennis et la 3è en pleine adolescence en effet il faut la pousser pour qu’elle continue et dit passer en seconde trop de devoirs… mais je la pousse pour l’année pro à continuer la gym et l’escalade qu’elle voulait arrêter et lire de Lucile qu’il faut les pousser me rassure énormément!! Merci pour cet article

    23. Bonjour Lucile !

      Merci beaucoup pour ce super article, c’est un sujet que j’attendais que tu abordes depuis longtemps. Sujet d’actualité à la maison avec un enfant plutôt contemplatif qui a du mal à se motiver et un cadet hyper enthousiaste. Question subsidiaire : et si mon enfant veut changer tous les ans de sport, est-ce embêtant ?

      1. Lucile Woodward

        Non pas embêtant tant qu’il se fait plaisir. Essayer de discuter avec lui pour savoir pourquoi il veut toujours changer. Peur de se confronter à une progression difficile ?

    24. Bonjour Lucile,

      Merci pour cet article.
      Mes 2 enfants de 17 et 19 ans ont debuté le tennis à l’age de 5 ans et ont accroché de suite.Ils ont rapidement fait de la competition mais c’est un sport difficile mentalement.On a voulu imposer une seconde activité au plus jeune vers ses 10 ans car il se mettait trop de pression,il a choisi la natation donc il faisait tennis et 1h de natation .
      Le grand a du arreter le sport pour raison de santé mais son frere a 17 ans,continue le tennis en competition en terminale avec 3 entrainements semaine et il s’est inscrit ds salle pour faire un peu de musculation en plus.Ce qui est dommage c’est qu’il envisage de tt arreter à la rentrée car il va faire PASS.

    25. Bonjour Lucile

      Merci pour ton article. Ma fille a 9 ans et demi (comme la tienne il me semble ?)
      Je suis très sensible à ce qu’elle fasse du sport, donc elle en fait. Capoeira et escalade ces deux dernières années. Elle veut arrêter l’escalade cette année et je la comprends car le cours n’est vraiment pas génial. Bon ça fera deux séances de capoeira par semaine + un peu de compétition chaque année.
      Ce que je trouve difficile : elle est disciplinée et en fait sans broncher, elle dit qu’elle adore en faire mais au fond elle préfère rester à la maison au chaud. Et en fait je pense que c’est parce qu’elle n’a pas de facultés physiques incroyables. Quel que soit le sport, elle est pas hyper douée. C’est un vrai frein à la motivation il me semble : lorsque tu as du mal à faire les exercices, à te démarquer. Tu vois ce que je veux dire ? Quels seraient tes conseils pour les personnes qui, au départ, n’ont pas de grandes facultés sportives ?
      Ça a été mon cas. D’ailleurs maintenant je fait des sports exigeants mais je suis tjrs à un niveau médiocre. Mais j’ai enfin réussi à passer outre ce problème et je prends du plaisir. Mais j’ai perdu 30 ans avant de m’y mettre enfin
      Merci pour ton retour !

      1. Lucile Woodward

        Fais de l’escalade avec elle, organisez vous un voyage d’escalade … c’est faux qu’elle n’a pas d’aptitude ne le pense pas et ne lui partage pas cela. Les enfants ont besoin d’être poussé régulièrement c’est normal. Mais si elle sent que tu ne la trouves pas super bonne : ça va d’autant plus la démotiver

    26. Les parents donnent aussi l’exemple. Si on fait du sport régulièrement les enfants en feront ! Et perso, pour moi ce fut l’inverse : j’ai deux ados en sports études et bien à 44 ans, j’ai décidé de me mettre sérieusement au sport pour qu’ils soient aussi fiers de leur maman tout comme de leur papa très sportif ! Je m’implique aussi comme bénévole dans toutes les associations qu’ils fréquentent, ca me permet de comprendre le fonctionnement du club et de cotoyer les entraineurs dans un autre cadre. Si vous êtes moins dispos, donnez quelques heures dans l’année pour aider au spectacle, à un déplacement, au rangement de fin d’année….ca aide énormémement les clubs et ceux qui les font tourner toute l’année. Et oui, nous aussi on a un job, une famille, un truc de prévu mais on est toujours là pour les jeunes !

      Après de très nombreux kilomètres ( toute activité chez nous est à 40km aller retour dans une route de montagne avec de la neige 5 mois par an ), j’ai trouvé comment me mettre en joie dans ces trajets :
      Il faut voir les trajets comme des moments privilégiés avec son enfant et pas comme une corvée. On discute, on écoute de la musique, on écoute le silence de l’autre ! Et s’il y a les petits voisins avec nous, je m’intéresse aux autres copains et tissent des liens. Ils adorent quand c’est moi qui conduit !

      A partir du collège, il y a les associations sportives type UNSS qui proposent des sports entre midi et 2, ou le soir après les cours. C’est pas cher ( 20€ par an pour nous ) et très pratique pour les internes.

      Le sport c’est la vie. Dans les épreuves que nous traversons tous dans notre vie, et parfois très jeune, le sport nous donne force, courage, confiance et réconfort.

    27. Tout est dit! Super article Lucile, tes conseils sont précieux.

      Pas toujours facile en tant que parent de bien se positionner, de l’encourager assez sans trop mettre de pression, surtout quand l’enfant a du mal à se dépasser lui-même…Et c’est d’autant plus difficile quand soi-même on a fait du sport en compétition jeune et qu’on aimerait qu’il connaisse la même joie et satisfaction de ces années sportives.

    28. Moi je suis contre la compet’ !
      j’ai trop de proches qui en ont fait et qui adultes ne pratiquent plus parce qu’ils s’ennuient dans leur sport. Je trouve ça très triste
      Mes filles font 2-3 sports, un tronc commun : piscine : parce que c’est indispensable de savoir nager que ça ne nuit pas au squelette et que ça détend
      Danse parce qu’elles avaient envie
      Plus une autre activité : aviron ou synchro (quand on trouve un club…et ça c’est pas facile)
      Le sport c’est juste parce que ça fait partie de l’hygiène de vie et du plaisir 🥰
      Résultat même au lycée elles poursuivent il n’y a jamais eu d’envie d’abandonner

      1. Lucile Woodward

        Ça depend, la competition peut être vecteur de grande confiance en soi et de force mentale. Ne pas tout jeter !

    29. Si jamais la course d’orientation c’est très bien comme sport qui se pratique à l’extérieur par tous les temps, et qui peut aussi se pratiquer en famille car ça s’adresse autant aux enfants qu’aux adultes ! On a plusieurs familles dans notre club qui partagent les entraînements et les courses ensemble. Et il y a aussi des compétitions, une des jeunes est en équipe de France !
      Venez découvrir la course d’orientation 😀

      1. Lucile Woodward

        Absolument quel sport fabuleux !! Concentration, espace temps, cardio, prise de décision, esprit d’équipe. Contact avec la nature. D’ailleurs mon fils au college en fait à chaque cycle, et ma fille en primaire aussi. Top sport !!

    30. Salut Lucile,
      Merci pour ton article !
      Et ben moi mes parents viennent toujours me voir sur mes courses et j ai 44 ans, la dernière en date le week-end passé j avais inscrit un 21 km 900 D+ c était dur presque trop ils sont venu à 5 endroits c était vraiment une grande aide mentale mon fils était aussi avec eux.
      Ma maman et mon fils de 7 ans on couru les derniers 200 m avec moi c était fabuleux j ai fini dernière mais j ai fini !
      Beau week-end
      Valérie

    31. merci pour ce bel article j’ai moi-même arrêté tout sport étudiante… avant de reprendre adulte! mon problème pour mes enfants c’est l’arrêt du sport meme loisir à la puberté. j’ai dû lâcher l’affaire avec mon aînée qui est partie en internat et où je ne peux rien caler en force car 1 week-end sur 2 chez son papa dans une autre ville, et la plus jeune suit le même chemin et me demande a arrêter son activité car plus aucune motivation. A l’adolescence quel levier trouver? ….

      1. Lucile Woodward

        zut, elle n’a pas de copines qui font du sport avec elle ? Que dit son entraîneur ?

    32. Mes filles ont toujours fait du sport. A des rythmes soutenus les 2. L aînée est en classe prepa scientifique et continue, à un rythme un peu moins soutenu la seconde en première à changé de sport cette année. un podium en course à pied pour toutes les 3 il y a 10 jours ! Trop fières d elles et de nous parents! Par contre, investissement financier important, on pouvait suivre mais certains arrêtent aussi pour cette raison…

    33. Super article encore une fois ! J’ai effectivement le dilemme avec mon fils de 15 ans qui passe en 1ere et qui me réclame du foot deux entraînements de 1h30 en semaine… en plus du tennis et donc de ses études. Je comprends votre message mais compliqué pour moi.
      Continuez comme vous êtes ! Vous êtes parfaite en motivation en tout cas !

      1. Lucile Woodward

        Le sport favorise les apprentissages ! Il va trouver son organisation. Souvenez le !! Ça va le faire

    34. Bonjour Lucille

      Merci pour cette article.
      Ma fille est encore très jeune (3 ans ) mais ce sont déjà des questions que je me pose concernant ces activités physiques ( et musicales). Difficile de trouver des activités qui sont adaptées à son âge et en dehors des heures de travail.
      En tout cas je note tes conseils.

      Concernant mon expérience personnelle, je suis d’accord avec toi concernant l’activité physique. Je me souviens encore que mes parents m’avaient demandé d’arrêter en 1ere et en terminale. Heureusement que le lycée avait 2 spécialité danse auxquels j’ai adoré participer et qui en plus on rapporté des points en plus pour le bac.

      Enfin j’ai maintenant 33 ans . Je fais toujours de la danse 1 fois par semaine et ma grand-mère vient me voir pour les galas. Ça fait toujours autant plaisir ☺️. Donc j’espère bien pouvoir faire ça pour ma fille.

      Très bonne journée à toi !

      1. Lucile Woodward

        Super ! À partir de 3 – 4 ans il y a la baby gym. Et sinon leur apprendre à nager le plus rapidement possible.

    35. Bonjour Lucille

      Merci pour cette article.
      Ma fille est encore très jeune (3 ans ) mais ce sont déjà des questions que je me pose concernant ces activités physiques ( et musicales). Difficile de trouver des activités qui sont adaptées à son âge et en dehors des heures de travail.
      En tout cas je note tes conseils.

      Concernant mon expérience personnelle, je suis d’accord avec toi concernant l’activité physique. Je me souviens encore que mes parents m’avaient demandé d’arrêter en 1ere et en terminale. Heureusement que le lycée avait 2 spécialité danse auxquels j’ai adoré participer et qui en plus on rapporté des points en plus pour le bac.

      Enfin j’ai maintenant 33 ans . Je fais toujours de la danse 1 fois par semaine et ma grand-mère vient me voir pour les galas. Ça fait toujours autant plaisir ☺️. Donc j’espère bien pouvoir faire ça pour ma fille.

      Très bonne journée à toi !

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